Dans cette seconde interview, je mets à l’honneur EnerFip et Léo Lemordant. Léo est Cofondateur et Président de EnerFip, après cette interview vous en saurez plus sur comment vous pouvez concilier performance et écologie grâce à EnerFip.
Lors de cet échange, nous abordons des sujets variés :
- le parcours de Léo
- pourquoi certaines collectes sont locales et d’autres nationales
- pourquoi les grands groupes (Total, Engie) font appel au crowdfunding
- et beaucoup d’informations au sujet d’EnerFip
Avant de vous laisser avec cette interview, je tiens à remercier Léo Lemordant pour sa disponibilité, sa réactivité, sa transparence et sa confiance. En plus de toute ses qualités, Léo vous propose un bonus très intéressant !
EnerFip est partenaire de Investissements-Faciles. Ils me permettent de vous offrir un bonus de 30 € pour 100 € investi lors de votre premier investissement. Pour cela, il faut vous inscrire par ce lien. Pour en savoir plus, je vous invite à visiter la page dédiée au partenariat.
Une collecte nationale arrive (22/07/2021)
Au moment où j’écris ces lignes, un nouveau projet national arrive le 22 juillet 2021 à 12h30. La société LER Développement lève de l’argent pour financer un ensemble de projets de production d’énergie renouvelable dont un tiers du financement un projet photovoltaïque. Ce financement permet aux prêteurs d’obtenir un rendement de 6 % annuel pendant 2 ans, votre Livret A va être jaloux !
L’interview avec Léo Lemordant – Président d’EnerFip
Alexandre (Investissements Faciles) : Pourrais-tu te présenter ? Quel est ton rôle dans EnerFip ?
Léo Lemordant (EnerFip) : Bonjour à tous.
Je m’appelle Léo. Je suis un des fondateurs d’Enerfip, et y assume la fonction de Président depuis le début, en 2014. Concrètement, mon action se concentre au quotidien sur le développement de notre base d’investisseurs et sur tous les aspects stratégiques à moyen et long terme.
Alexandre : Quelle est ton expérience professionnelle, mais aussi personnelle avec les énergies renouvelables et le crowdfunding ?
Léo Lemordant : Ingénieur en génie civil de formation, j’ai commencé ma carrière en tant qu’ingénieur chargé du développement de concessions de projets hydroélectriques dans des pays en voie de développement -et c’est à cette occasion que j’ai rencontré mon futur associé Sébastien. J’ai notamment été chargé d’un projet de 570 MW, soit un investissement de 750 M$, dans les confins de l’Inde, en Arunachal Pradesh. Et je peux vous dire que c’était formateur !
J’ai ensuite travaillé quelque temps à Sète sur de la rénovation de barrages hydroélectriques et c’est à cette occasion que j’ai rencontré mon futur associé Julien. J’ai rapidement tout plaqué pour partir 4 ans à New York avec ma femme pour réaliser une thèse de doctorat à Columbia University. Cette thèse avait pour sujet les relations entre la végétation et l’atmosphère, et notamment l’impact du changement climatique sur les vagues de chaleur!
Alexandre : Comment en être vous venu à créer EnerFip ?
Léo Lemordant : Eh bien l’idée m’est venue pendant ma thèse, j’ai appelé Julien et Sébastien -qui était lui à Singapour à cette époque-, et nous avons monté ce projet en parallèle de nos jobs respectifs.
D’une part Julien, développeur de projets photovoltaïques (il en a fait plus de 200 dans sa carrière), faisait à ce moment-là du négoce de centrales, un peu comme un agent immobilier, mais pour des centrales photovoltaïques.
Et d’autre part, j’avais ces copains ingénieurs qui montaient leur startup et m’avaient sollicité sur le crowdfunding de leur prototype. Et je me suis dit, « mais bon sang, on devrait combiner les deux ! » Utiliser le crowdfunding, pour financer collectivement, avec des petits tickets, des actifs de production d’énergie renouvelable -et notamment hydroélectriques, on ne se refait pas 😉- chose qui est plutôt réservée d’ordinaire à l’élite de la finance.
Alexandre : Comment présenterais-tu Enerfip ?
Léo Lemordant : Enerfip propose aux citoyens de placer leur épargne en direct dans des projets de la Transition énergétique. C’est accessible à tous puisque le ticket minimum est à 10€, et c’est sans frais. On peut investir sous forme de prêt, sur 12 à 60 mois, ou en actions et dans ce cas on devient actionnaire du projet.
Alexandre (Investissements Faciles) : Peux-tu nous en dire plus sur les projets financés par les investisseurs d’Enerfip ?
Léo Lemordant (EnerFip) : Enerfip propose aux investisseurs des projets portés par des professionnels du secteur, que nous auditons et structurons financièrement. Ainsi nous présentons rarement des collectes de moins de 200 k€. Il peut s’agir :
- De projets photovoltaïques de grande taille au sol, ou de plus petite taille en toiture, en injection sur le réseau ou en autoconsommation.
- De projets éoliens terrestres ou en mer, et même éolien flottant.
- De projets de méthanisation agricole ou de l’agroalimentaire, pour produire du méthane avec les résidus organiques qui sera injecté dans le réseau de gaz de ville.
- De projets d’efficacité énergétique dans l’industrie.
Nous étendons progressivement les secteurs pour couvrir le plus de champs utiles à la transition énergétique.
Alexandre : Pourquoi les investisseurs devraient-ils choisir EnerFip ? Quels sont vos avantages concurrentiels ?
Léo Lemordant : Les collectes proposées par Enerfip permettent de concilier à la fois utilité sociale et environnementale avec un couple rendement/risque très attractif. En effet, la rémunération offerte sur l’ensemble de l’historique de 6 ans est de 5.1% annuel avant impôts. Ceci s’explique par la nature intrinsèque des projets financés, c’est-à-dire des infrastructures à la production et donc à la rentabilité particulièrement prévisibles.
Par ailleurs, le site web d’Enerfip offre des garanties de sécurité du plus haut niveau, couplées à une expérience utilisateur soignée et fluide. Venez vérifier par vous-même ! 😊
Alexandre : Les entreprises en recherche de financement de la plateforme ont des profils très variés, des plus petits aux plus grands acteurs, tu peux nous en dire plus sur la typologie de ces acteurs ?
Léo Lemordant : C’est tout à fait vrai, et c’est l’une des raisons d’être d’Enerfip. Nous avons trois types d’acteurs, ou plutôt trois offres de services côté porteur de projet :
- Répondre à un besoin de financement : Enerfip intervient alors généralement en substitution des fonds propres (l’équivalent de l’apport personnel quand on achète un appartement) pour débloquer la dette bancaire. Dans certains cas, Enerfip peut aussi intervenir au moment de la construction et couvrir l’ensemble des besoins de financement à court terme (9 à 18 mois) pendant que les banques instruisent le dossier ; on parle alors de bridge.
- Répondre à une problématique d’acceptabilité territoriale : le financement participatif est devenu un passage obligé pour un certain nombre de projets, que ce soit une demande des élus ou des riverains. Nous accompagnons alors les porteurs de projet dans cette étape importante, qu’ils soient une PME ou une filiale d’un grand groupe du CAC40.
- Répondre au cahier des charges de la Commission de Régulation de l’Energie (CRE).
Alexandre : Ces plus gros acteurs (Engie, Total, CNR) n’auraient aucune difficulté à se financer par différents canaux. Pourquoi choisissent-ils le financement participatif et Enerfip ?
Léo Lemordant : Ils viennent sur Enerfip soit dans le cas de projets lauréats à un appel d’offres de la CRE soit pour des enjeux d’acceptabilité territoriale.
Dans le cadre d’appel d’offre de la Commission de Régulation de l’Energie (CRE) l’état donne un coup de pouce aux projets ouvrant le financement aux citoyens (financement participatif). Les tarifs d’achat de l’électricité de projets photovoltaïques par EDF sur 20 ans sont définis dans ces appels d’offres organisés par la CRE. Dans ce cas, le couple rendement/risque est très attractif, mais le cahier des charges impose une restriction géographique
Alexandre : Quels en sont les bénéfices pour ces acteurs de réaliser des campagnes locales ?
Léo Lemordant : Dans le cadre d’une concertation publique, plutôt en fin de concertation, quand le projet est plutôt bien accepté, la voix d’Enerfip qui n’est pas formatée est intéressante pour diffuser certains messages. Elle apporte une dimension nouvelle à l’intégration du projet dans le territoire.
On pourrait penser que c’est du blabla de communicant, mais les chiffres prouvent cette réalité. Par exemple, sur le projet d’Engie Green à Marcoussis en mars dernier, plus de 200 habitants de la communauté de communes ont participé à la collecte, apportant plus de 500 000€ de fonds.
Alexandre : Comment les sociétés, qui empruntent au travers d’Enerfip, trouvent les fonds pour rembourser les prêts ?
Léo Lemordant : Tu as tout à fait raison, une majorité des projets financés via Enerfip comptent non pas sur les flux de trésorerie pour rembourser le capital emprunté, mais sur un refinancement. Le cas classique consiste en une opération de financement par Enerfip une fois le projet purgé de tout recours et prêt à construire.
Ce type de projets est parfaitement bankable, et après quelques années d’exploitation le refinancement ne pose pas de problème particulier, il permet même d’optimiser les charges financières supportées par le projet. En général, ce sont des fonds d’investissement spécialisés dans les infrastructures qui se positionnent, voire même la banque qui va alors refinancer à la fois le crédit bancaire existant et la ligne Enerfip.
Les porteurs de projet peuvent parfois profiter de ce moment pour restructurer dans un unique portefeuille des projets développés et financés successivement, ce qui permet de rationaliser les coûts de structure et les coûts de financement.
Alexandre : À quelles difficultés pourraient être confronté vos partenaires dans le cadre de refinancement ?
Léo Lemordant : Le risque de refinancement est souvent le principal risque porté par les investisseurs d’Enerfip. S’agissant donc des difficultés potentielles, si un problème intervient durant la construction et le début de l’exploitation, qui ne soit pas couvert par des assurances, alors le refinancement pourrait s’avérer délicat. On peut imaginer ce cas pour un projet de méthanisation notamment. C’est pourquoi ce sont des collectes réservées à nos clients les moins avers au risque.
On pourrait également imaginer qu’une crise financière majeure mette à mal la capacité à lever des financements. Toutefois, même dans ce scénario, j’estime, mais ce n’est que mon opinion, que le type d’actifs que nous finançons constituerait alors une valeur refuge pour le monde financier.
Enfin, dernière hypothèse qui paraît surréaliste, mais n’est hélas plus à exclure totalement, on pourrait imaginer que l’État revienne sur ses engagements en termes de tarifs d’achat. Un tel cas serait parfaitement anticonstitutionnel, mais le gouvernement actuel est déterminé à renégocier certaines subventions -certes excessives en regard du contexte d’aujourd’hui- octroyées à un certain type de projets solaires avant 2011. Nous n’avons pas de projets exposés à ce risque immédiat dans notre portefeuille, mais c’est une hypothèse qu’il faut dorénavant considérer comme de l’ordre du possible.
Alexandre : EnerFip a financé plus de 100 000 000 € de projets depuis sa création, vous êtes au coude à coude avec un concurrents en volume de prêt. Quels sont vos objectifs pour les prochaines années ? Comment souhaitez-vous vous démarquer ?
Léo Lemordant : C’est vrai que notre concurrent principal nous talonne à 10 M€ derrière nous en volume financé depuis la création. Avoir deux acteurs à plus de 100M€ est plutôt un bon signal de la profondeur du marché. Malgré tout, les dynamiques sont sans appel : Enerfip est largement n°1 sur les 12 derniers mois, et en fait depuis 2 ans en parts de marché.
Sur 2021, l’écart s’accroît encore, avec plus de 50% de parts de marché pour Enerfip. La diversité de nos clients porteurs de projets est la plus étendue du secteur. Notre dynamique d’inscription d’investisseurs est également la meilleure (autour de +1.000 inscrits par mois).
Notre objectif pour les prochaines années est évidemment d’accentuer encore notre empreinte sur notre secteur historique, mais aussi de diversifier notre offre, tant en termes de secteurs que de typologie de produits. Nous déroulons pour ce faire une stratégie ambitieuse.
Alexandre : Comment vous démarquez vous d’autres plateformes de crowdfunding ?
Léo Lemordant : Je vais être un peu prétentieux et je m’en excuse d’avance, 😉, mais par la qualité de service ! Nous avons misé sur la qualité de services depuis le début, et nous en récoltons aujourd’hui les fruits. Pour les investisseurs, cela se traduit par une expérience utilisateur fluide sur le site et un service-client compétent et disponible (nous avons 4 personnes à temps plein sur ce sujet).
Pour les porteurs de projet, cela passe par une réponse complète à tous leurs besoins : variétés de types de financements, professionnalisme pour la communication, appui administratif, expertise en montage financier, compétence sur les sujets juridiques les plus pointus.
Cette qualité de services se traduit également par une excellence sur tous les enjeux de sécurité : sécurité informatique, sécurité des données, sécurité juridique. C’est loin d’être le cas de tous nos concurrents.
Alexandre : Les énergies renouvelables sont en plein essor, quel est ton sentiment sur le marché du financement de projets pour les prochaines années ?
Léo Lemordant : C’est un marché en perpétuelle et très rapide évolution, avec de grands écarts selon les technologies dont on parle. Toutefois, la concurrence pour le financement devient très vive sur ce secteur, pour tous les acteurs, que ce soit les banques ou les acteurs du financement de fonds propres.
Ce secteur est devenu stratégique pour la finance, et des quantités astronomiques de liquidités s’orientent vers ce secteur. Heureusement les besoins en face sont également monstrueux et en croissance.
Quand on entend les annonces des groupes bancaires de planification de désinvestissement des secteurs carbonés -évidemment pas assez massives, mais déjà significatives- on se dit que l’histoire ne fait que commencer.
Commentaire d’Alexandre : Ce que dit Léo est très important, nous voyons que la conscience écologique et la volonté politique de développer l’écologie sont de plus en plus importantes, cela apportera naturellement des projets à Enerfip, et devrait faciliter le refinancement des projets.
Alexandre : Comment comptez-vous soutenir la croissance à venir sans détériorer la qualité des projets ? Est-ce que la multiplication des projets de qualité liés aux énergies renouvelables sera suffisante pour soutenir la croissance à qualité constante ?
Léo Lemordant : Au lancement d’Enerfip en 2015, nous avons dû commencer par une évangélisation des porteurs de projet, et nous avons pris notre bâton de pèlerin pour essayer de les convaincre un à un de notre utilité. Il nous a fallu faire nos preuves de professionnalisme. Aujourd’hui, nous sommes tout à fait crédibles et ancrés dans le paysage.
Aujourd’hui, ce sont même les porteurs de projet qui viennent à nous. Enerfip est consultée de plus en plus systématiquement (en concurrence avec d’autres évidemment) et nous avons accès à des dossiers inimaginables il y a encore 18 mois. La qualité n’est donc pas détériorée, au contraire.
Alexandre : Par ailleurs, pour que les investisseurs comprennent bien la sélection qu’Enerfip réalise, pourrais-tu nous en dire plus sur ce processus de sélection (étapes, critères) ?
Léo Lemordant : Oui, bien sûr, notre procédure est tout à fait transparente. Elle est d’ailleurs publiée sur cette page.
Quand un prospect nous contacte, nous récoltons des informations basiques pour comprendre le besoin et connaître le porteur de projet. A ce stade, nous décidons en comité de présélection si nous creusons le dossier ou non si :
- Le porteur inspire un minimum confiance à priori.
- Le projet rentre à priori dans nos critères de sélection : solvabilité, démarches administratives validées, impacts environnementaux, évaluation des risques techniques.
- Le besoin correspond à l’offre d’Enerfip.
Si nous répondons oui à ces questions, nous faisons un audit sur tous les aspects du projet : financiers, juridiques environnementaux, …
A cette étape, nous négocions également les conditions de la collecte : taux, maturité, garanties, etc. Une fois que le dossier est fini d’être instruit (1 à quelques semaines selon la complexité), le comité de sélection donne son avis :
- ok
- ok sous condition
- non.
Le comité attribue également une note de risque au projet selon notre grille à deux entrées : typologie du projet vs risque porteur de projet. Le comité de sélection est composé de Julien, mon associé directeur général, Sébastien, mon associé directeur financier, et moi-même.
Alexandre : Comme tout investissement, le crowdfunding est soumis à des risques, quels sont les principaux risques sur EnerFip ? Que recommande EnerFip à ces investisseurs pour réduire ce risque ?
Léo Lemordant : Le principal risque, tu l’as souligné, est celui du refinancement. La mesure de bon sens pour réduire le risque, c’est avant tout de diversifier son portefeuille et de ne pas investir une part trop importante de son patrimoine chez Enerfip.
Cela étant dit, Enerfip a une politique proactive de conseil. Ainsi, si un investisseur nous déclare souhaiter investir uniquement sur les projets les plus sûrs, nous allons l’empêcher d’investir sur les projets avec une note de risque B et C. Il ne pourra investir que sur les projets où le risque est particulièrement limité (typiquement des projets CRE portés par des sociétés particulièrement solides de type CNR, Engie Green, etc…).
Alexandre : Est-ce qu’Enerfip, ses dirigeants et ses employés investissent au travers d’Enerfip ? Comment EnerFip assure l’alignement des intérêts entre les investisseurs et la société ?
Léo Lemordant : Les dirigeants et salariés ont en effet la liberté d’investir sur Enerfip. Notre politique de conflits d’intérêts encadre ces pratiques. En réalité, il s’agit d’une très faible part en nombre et en volume des souscriptions réalisées sur Enerfip, et à ce jour ce n’est pas un enjeu.
L’alignement des intérêts est total, puisque notre intérêt est de limiter au maximum les défauts pour garder intacte notre réputation. On a bien vu les difficultés de réputation engendrées par un grand nombre de défauts d’autres plateformes (années 2017-2018).
Alexandre : Quels sont les projets d’Enerfip en 2021 ? Prévoyez-vous des nouveautés pour les investisseurs ?
Léo Lemordant : Nous prévoyons en effet de sacrées nouveautés. La première est en cours de finalisation : nous mettons en place une notification de l’ouverture des collectes via Whatsapp. L’autre nouveauté est bien plus significative : depuis le début de l’année, nos investisseurs peuvent céder certains titres, un vrai plus pour la liquidité des investissements.
Très bientôt, nous offrirons la possibilité aux investisseurs d’acquérir ces titres en vente, à travers un carnet d’offres, un vrai levier pour diversifier rapidement son portefeuille et améliorer encore la liquidité.
Alexandre : À l’heure actuelle, quelle est ta vision d’Enerfip dans 5 ans ?
Léo Lemordant : Question difficile, dont on n’a pas forcément envie de rendre publique la réponse 😉. Notre vision, depuis le début, est de faire d’Enerfip l’acteur incontournable de l’épargne verte et de la finance verte. C’est une ambition démesurée, je te l’accorde, mais nous faisons malgré tout notre bonhomme de chemin sur cette voie, non ? J’imagine que nous allons nous diversifier tout en restant fidèles à notre cœur de métier, et en gardant au cœur de notre action nos valeurs principales : la transparence, la pédagogie, l’action pour la Transition énergétique.
Alexandre : Un dernier mot pour les lecteurs ?
Léo Lemordant : Ils peuvent nous suivre sur les réseaux sociaux, linkedin, facebook, instagram, twitter. Et aussi, on est toujours en recherche de développeurs web (ruby on rails) !
Commentaire d’Alexandre : Léo a participé au podcast la Martingale il y a quelques mois. Je vous incite à l’écouter.
Alexandre est investisseur depuis 2016. Après 9 ans de carrière dans le développement de logiciels, dont 2 ans au sein d’une banque privée, il a décidé de partager son expérience d’investisseur en créant Investissements-Faciles en 2020. Fort de 4 années consacrées à la création de contenus, Alexandre vous apporte ses connaissances en crowdfunding, bourse ou encore sur les différents supports d’investissements (assurances vie, CTO, PEA …).